confidences-lesbiennes

Fréquentant secrètement les peep-shows et les cinémas pornos, Laura plonge dans un voyeurisme morbide qui stimule ses envies d’autres femmes… Toujours et encore…

Des confidences aussi intimes que torrides qui mettent Muriel mal à l’aise mais, étrangement, la laissent dans un état second, proche de l’envie et du trouble alors que sa vie sexuelle est proche du néant avec un mari fade et inexistant…

Alors Laura, consciente de son trouble, tente sa chance…

A SUIVRE…

Vengeance lesbienne ou la revanche d'une femme trahie...

Lorsque Julie a débarqué à Paris, elle ne connaissait personne et se sentait perdue. La jeune femme a alors rencontré Vincent, à qui elle a fait d’emblée confiance.

A tort… Humiliée et bafouée par l’homme dont elle s’était éprise, la voilà seule et abandonnée. Pour ce faire, il lui faut un plan tordu et dérangeant, pour faire mal, atteindre Vincent dans ce qu’il a de plus cher : sa dignité et son épouse. Briser son couple, distiller le doute et la discorde. Et tout mettre en oeuvre pour que la femme de Vincent, la douce et prude Valérie, le quitte pour une autre femme, l’ultime humiliation…

Calculatrice et manipulatrice, Julie est prête à tout pour faire voler en éclats les certitudes hétérosexuelles de Valérie…

Alors elle l’invite chez elle et la fait boire malgré sa méfiance…

L’alcool fait son effet, il inhibe les freins comportementaux et charrie dans les veines de Valérie une douce chaleur qui lui fait tourner la tête et lui fait perdre le sens de la réalité… Mais pas assez pour Julie qui l’encourage à boire encore plus et se lâcher un peu…

Valérie confie :  " Cette femme, je la connaissais à peine. Belle, intelligente, la grande classe, nouvelle employée libre-service dans le Supermarché où j’ai l’habitude de me rendre, elle tranchait avec les autres filles par son charisme et sa détermination. C’est elle qui m’a abordé. On a vite sympathisé, même si elle m’intimidait un peu. Et quelque chose d’autre qui me dérangeait un peu, me mettait mal à l’aise… Sa façon de me regarder, ses maniéres franches et directes, trés tactiles… Mais, de nature méfiante, je me faisais encore mes films, et je me suis fais violence pour accepter son invitation. Et le grand soir est arrivé…

Nous commençâmes rapidement à discuter de tout et de rien.
Au fil de la conversation, elle me parla sans pudeur d’histoires de relations hommes-femmes, surtout au niveau sexuel. Étant plutôt du genre réservée, un peu déconcertée par ses indiscrétions, je me sentis assez vite mal à l’aise, surtout lorsqu’elle m’avoua sa bisexualité et ses préférences justement pour les femmes… Là, si j’avais pû me cacher dans un trou de souris, je m’y serais précipitée… Mais, l’alcool aidant, je me détendis malgré tout, grisée par un bien-être un peu traître je l’avoue… Je me mis donc à lui parler de mes expériences amoureuses, assez plates et banales aprés tout, puis ma rencontre avec Vincent, mon mari, ses exigences sexuelles qui me fatiguaient, mais ma peur de ne pas le contenter et qu’il finisse par voir ailleurs… Là, Julie semblait trés intéressée, me poussant aux confidences, faussement choquée que je refuse les fellations ou autres aberrations sexuelles. Plus je parlais et plus je voyais qu’elle s’excitait, à sa façon de se coller à moi, sa respiration sifflante, son regard embué. Gênée, je cessais de parler lorsqu’elle releva sa robe et dévoila un truc horrible entre ses jambes, ce qu’on appelle un godemichet je crois, car c’est le genre de truc dont je me refuse d’utiliser… Estomaquée, j’en suis restée bouche bée ! »

Julie confie : » Le piége était en train de se refermer sur cette idiote. Une toile que j’avais tissée avec subtilité et elle s’engluait toute seule dans ma toile. Car je lui avais fait comprendre l’importance de la fellation chez un homme, une importance vitale pour satisfaire le désir masculin, préserver son orgueil de mâle en le gratifiant du plaisir extrême, dans ce qu’il a de plus intime pour éviter tout risque qu’il cherche ailleurs ce qu’il n’a pas à la maison. Et elle buvait mes paroles, avec cette peur au ventre de la femme amoureuse qui est prête à tout pour garder son homme auprés d’elle… Alors j’ai sorti le gode-ceinture que j’avais auparavant enserré autour de ma taille. C’était un modèle standard, ni trop petit, ni trop gros. Du moins, en ce qui me concerne… Je ne voulais pas lui faire peur. «

A SUIVRE… Les deux femmes vont être possédées par une luxure sans limite, les poussant à déchaîner leurs désirs les plus inavoués, libérant la prude Valérie de ses envies les plus torrides...http://divineinnocente.onlc.fr/