Mardi 3 mai
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10:27
Vengeance lesbienne
ou la revanche d'une femme trahie...
Lorsque Julie a débarqué à Paris, elle ne connaissait personne et se sentait perdue. La jeune femme a alors rencontré Vincent, à qui elle a fait
d'emblée confiance.
A tort... Humiliée et bafouée par l'homme dont elle s'était éprise, la voilà seule et abandonnée. Pour ce faire, il lui faut un plan tordu et
dérangeant, pour faire mal, atteindre Vincent dans ce qu'il a de plus cher : sa dignité et son épouse. Briser son couple, distiller le doute et la discorde. Et tout mettre en oeuvre pour que la
femme de Vincent, la douce et prude Valérie, le quitte pour une autre femme, l'ultime humiliation...
Calculatrice et manipulatrice, Julie est prête à tout pour faire voler en éclats les certitudes hétérosexuelles de Valérie...
Julie confie : Avec un mélange de crainte et de honte, elle a accepté malgré tout de
s'entraîner sur le godemichet, apprendre à effectuer une fellation presque parfaite... Non sans timidité, ce qui la rendait plus touchante, et me donnait presque quelques scrupules à abuser de sa
naïveté, pauvre victime de ma vengeance...
Je ne sais pas si c'est l'alcool ou nos jeux érotiques qui la chauffaient vraiment, mais elle a perdu la tête, m'embrassant fougueusement en me
branlant énergiquement, comme elle l'aurait fait à un homme.
La suite a vite dégénéré dans un troublant duo lesbien qui est mon plus beau souvenir, où les baisers et les caresses s'enchaînaient naturellement,
où sexe et volupté se conjuguent à la perfection...
Valérie confie : Je ne comprenais rien de ce qui m'arrivait. J’étais horriblement gênée
d'agir de la sorte mais je ne pouvais pas m'en empêcher, surtout que j’ai toujours été assez prude et pudique. Lucie m’a contournée et elle est venue se placer devant moi. Elle s’est approchée, a
pris mes mains qu’elle a plaquées contre sa jeune poitrine puis elle a avancé les lèvres vers ma bouche. Je ne savais vraiment plus comment réagir. J’aurai dû la repousser, calmer ses ardeurs,
mettre fin à toute cette horrible histoire, mais j’en ai été incapable, comme possédée. Quand elle a tiré la langue et qu’elle l’a posée sur mes lèvres, j’ai, dans un dernier sursaut de lucidité,
tenté de garder celles-ci obstinément closes. Mais elle a forcé le passage et j'ai littéralement fondue... C’était le baiser le plus excitant que j’ai reçu depuis bien des années. Et ensuite tout
a dérapé à une vitesse effrayante, sans régle, sans limite... J'étais son esclave, sa chose...
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