Suite et fin des aventures de Claire qui perd son pari et se découvre
des tendances homosexuelles dépassant de loin les limites de la morale...
Claire, une femme mariée, déchaîne les passions, invitée dans une superbe villa de la Riviera. Une communauté
lesbienne aux desseins sulfureux, des défis, des jeux sensuels… Pour ne perdre la face, Claire accepte le défi à relever : passer une heure avec une femme et résister aux tentations saphiques. Un
gage dangereux et fatal alors que sa partenaire va réveiller en elle des pulsions lesbiennes d’une incroyable intensité.
Sans pudeur et sans retenue.
La fiévre au corps, où l’hétéro va se lâcher dans un feu d’artifice frénétique…
Troublée, je sors de l’eau, m’essuyant vite et me rhabillant aussi hâtivement. Mon regard se fige sur
Fabrice. Il est blanc comme un cachet d’aspirine, les traits creusés. Il donne l’impression d’avoir pris dix ans d’un coup. Le cri stupéfait qui, telle une exclamation ravie, jaillit brusquement
de là-haut, ne ménage en rien sa douleur. Malgré moi, je le prends en pitié. J’imagine très bien les tourments qu’il doit vivre, même s’il en est en partie responsable. A mon avis, il ne
s’attendait pas à un tel dénouement, et encore moins à une telle apothéose, et il s’en mord maintenant cruellement les doigts. Je le vois sursauter alors que sa femme pousse d’autres cris
extasiés, entrecoupés d’onomatopées stridentes. Je doute fort, à voir l’expression de Fabrice, que sa femme montre la même fougue avec lui. Les cris ne cessent de monter, au rythme du plaisir qui
se fait grandissant, et s’achèvent dans un hurlement libérateur. Les grognements rauques de Sandra prennent la suite, vite accompagnes par Claire qui redémarre dans ses incroyables fringales
sexuelles. Ces bruits supposent une telle frénésie voluptueuse que je ne peux m’empêcher de mettre des images sur les sons.
Fiévreuse, j’imagine les corps entremêles, collés par la sueur, l’odeur du plaisir, l’ardeur des étreintes, les positions incongrues,
l’utilisation multiple du godemichet que Sandra a l’air de si bien manier. Bref, toute la magie de l’amour.
Des images qui prennent corps lorsque Laure réapparait, détaillant ce qu’elle vient de voir. Elle est
sous le choc, haletante. Elle en bave presque…
- Bon sang, j’en peux plus, c’est indescriptible ce qui se passe là-haut ! Claire était une vraie bombe à retardement, et elle
accumule les orgasmes sans pouvoir se retenir, comme si elle était faite pour ces amours-là ! Je suis persuadée qu’elle ne se reconnait même plus, se demandant ce qui lui arrive ! Incontrôlable
et insatiable. La taille du godemichet suffit à peine à la rassasier… Après s’être fait prendre par devant,
c’est d’elle-même qu’elle s’est retournée pour se faire pénétrer par derrière, et elle a tout accepté, l’intrusion anale en option !
Là, je crois bien que c’était une
première pour elle, car ses cris de surprise se mêlaient à ses cris de plaisir, une vraie révélation !
Au point après d’en redemander, grimpant sur Sandra pour peser de tout son poids sur le godemichet, comme pour mieux se faire
pénétrer, et donnant son rythme comme une diablesse ! Je bois un coup et j’y retourne !
Je suis prête à m’en aller. Je viens de penser à une fille, une jolie serveuse, avec qui j’ai une grande ouverture. Ce sera une
affaire vite conclue, en espérant qu’elle soit de service. De toute façon, vu mon état actuel, il est hors de question que je passe la nuit toute seule. Je suis des yeux Laure qui file ventre à
terre pour constater par elle-même ce qui se trame réellement là-haut. Le sentiment de pitié qui m’a effleuré tout à l’heure me saisit de nouveau, Fabrice me fait trop de peine avec son air de
chien battu à qui l’on vient de voler son os. Je me décide à intervenir :
- Laure, stop ! Tes commentaires, ça va un moment, mais ça suffit maintenant…J’en connais un qui souffre la martyre, alors ne jette
plus de l’huile sur le feu ! Respecte au moins sa douleur.
Elle hésite, puis m’obéit. Elle me tire la langue, dévoilant son percing sur la langue, que je distingue brièvement avant de lui
tourner le dos, filant vers ma voiture.
Pour moi aussi la nuit ne fait que commencer…
Si vous avez aimé cette histoire, je vous conseille de lire aussi » La Tentation de L’Ange. » http://divineinnocente.onlc.fr/10-La-tentation-de-lAnge.html Ou
quand une lesbienne tombe amoureuse d'une femme mariée et se montre déterminée à la séduire...
Plonger les lecteurs, comme ses
personnages, dans des abîmes de volupté – et démontrer qu’en chacune de nous, divine Femme que nous sommes, qu’une part d’homosexualité est enfouie au plus profond de nous. Et, comme Mélanie dans
cette nouvelle érotique, entraînée malgré elle dans un trio lesbien torride, qu’elle avait déjà en elle ces tendances refoulées, tapies comme un désir honteux mais à l’affût de la première
opportunité pour surgir comme un diable de sa boite…
Une porte qu'elle n'aurait jamais dû ouvrir...
Victime de sa vraie nature…
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