Vendredi 14 novembre
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15:40
Suite et fin de l'initiation lesbienne d'une femme de 40 ans, mariée, qui se dévergonder et s'éclate au lit avec la petite amie de sa
belle-fille.
Julie confie : Quand elle a vu que j’étais définitivement incapable de me retenir, elle est allée s’asseoir à l'autre extrémité du canapé et a sorti un engin monstrueux de son sac
à main, un sex-toy d'une grosseur impressionnante. Evidemment, je ne suis pas stupide, je connais l'existence des godemichets et tous ces gadgets érotiques que les filles
utilisent entre elles, mais en voir un de prés, pour la première fois, m'a fait monter le feu aux joues... Et sur tout le corps, faisant monter la tension qui m'habitait déjà...
Cette coquine exigeait tout de moi, aucune retenue, aucun tabou, m'obligeant à me surpasser, brisant toute pudeur et toute morale pour que je l'accompagne dans ses petits jeux pervers...
Alors on s'est excitée mutuellement à prendre le godemichet dans nos bouches, rivalisant d'audace pour le lécher et le cajoler,
et c'est ensuite toute seule que je me mettais à l'avaler tandis que Christelle, ayant
du mal à respirer, se déshabillait comme si ses vêtements étaient en feu, pressée de passer à l'étape supérieure... Elle m’a attirée vers elle et a glissé ma
main entre ses jambes. Au début, elle m’a aidée à lui masser la vulve mais très vite, j’ai pris mon autonomie. J’étais bien trop excitée pour résister à ses avances. J’ai fait de mon mieux pour
lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Et nous gardions le godemichet entre nous, comme le trophée le plus précieux et le plus rare...
Et c'est moi, n'y tenant plus, qui l'a utilisé la première, l'enfonçant d'un coup dans le vagin trempé de ma jeune amante, le sortant et le
rentrant avec une lenteur consommée, au grê de son plaisir. Pour entretenir son excitation, je lui triturais en même temps le bout des seins.
Franchement, je ne me reconnaissais plus. Si sadique et perverse. Une vraie lesbienne déjà expérimentée et insatiable.
Comme si j'étais faite pour ces amours-là. Des aptitudes naturelles qui m'emportaient vers des chemins impétueux et excessifs, où je
m'éclatais littéralement à procurer à ma partenaire tous les orgasmes possibles, avec un sadisme raffiné.
Variant les positions et me perdant dans des audaces qui ne cessaient de me surprendre... Mêlant perversité et tendresse car tout ce que je
faisais avec elle dépassait le simple rapport physique.
L'ancienne Julie était morte. L'ennuyeuse, la rigide, la maniaque et stressée n'existait plus.
Je m'épanouissais dans une relation aussi belle que torride. Ode à la féminité et au lesbianisme où je me reconnaissais enfin...
Et il était hors de question que je m'arrête à une seule expérience. J'avais découvert ma vraie nature.
J'étais possédée. Une vraie lesbienne étonnamment chaude qui recommencerait à la moindre occasion. Avec la femme de
ma vie. Christelle, celle dont je suis follement amoureuse, et peu importe l'écart d'âge et les rumeurs de cette société bien-pensante. Je l'aime et je suis prête à affronter la terre
entière pour la garder.
Et refuse de faire marche-arrière malgré les pressions de ma famille et mon mari. Je m'étais construite une vie
modèle mais étriquée dans laquelle je n'étais pas à l'aise et qui ne me correspondait pas. Mais Christelle a agit comme un déclencheur. Elle m'a fait prendre
conscience de ce que je suis réellement et Christelle me séduit chaque jour par sa fraîcheur et sa spontanéité, sans oublier son tempérament passionné au lit. Un bonheur que je
souhaite préserver jusqu'à la fin de ma vie. Pour toujours...
FIN.
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