Vendredi 26 mai 5 26 /05 /Mai 18:50

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INITIEE PAR UNE FEMME : Un stage professionnel oblige Isabelle à quitter sa famille pour se rendre à Lyon, partageant une chambre d’hôtel avec Selena. Celle-ci va vite chercher à l’attirer sur les chemins tortueux d’une liaison interdite. Prête à tout pour l'initier aux délices lesbiens... Mais Isabelle, femme mariée et mère de famille, n'est pas une conquête si facile...Peu après la naissance de leur premier enfant, Victor et Isabelle fuient la Bretagne pour venir s’installer dans les Landes.

  Initiation lesbienne.

Selena est une femme à la quarantaine lumineuse, séduisante et très à la mode, animée par sa passion pour le plaisir et pour les femmes.

Isabelle, femme mariée à la vie bien tranquille, est au contraire une beauté froide dissimulant mal son manque de confiance et ses frustrations refoulées.

Une proie facile pour Selena qui, déterminée et manipulatrice, exerce un pouvoir malsain sur Isabelle. Et, pour la plier à ses envies, va la brusquer et l’emporter contre son gré dans son univers, briser ses défenses pour l’amener au bout de ses désirs.

" Issue d’une famille bourgeoise, j’ai vécu dans un contexte rigide et étouffant qui me marqua à jamais. J’ai passé de longues années à souffrir du dédain de mes parents car je ne répondais pas à leurs attentes.

Pour eux, la réussite était un devoir sacré et mes deux sœurs excellaient dans leurs études. Je fus donc l’enfant rejetée par tous, subissant les moqueries et les reproches, une humiliation qui a hanté toute ma jeunesse. Pour me protéger, je m’enfermais dans de la solitude et l’indifférence, fermant les yeux sur tout désir d’amour et de tendresse. Puisque ma famille était incapable de m’aimer pour moi-même, je finis par m’en aller sitôt ma majorité atteinte, tournant le dos à mes racines, pleine de rancœur et de fêlure qui ne cicatrisèrent jamais.

Je m’installais en Bretagne, survivant de petits boulots et continuant mes études par correspondance dans le secrétariat. Une vie aussi rude que terne qui finit par briser tous mes rêves de bonheur. Je fermais les yeux sur tout espoir, essayant de me divertir avec deux ou trois liaisons avec des hommes qui aboutirent bien évidemment sur des échecs cuisants.

Je m’étais tellement repliée sur moi-même, hermétique à tout sentiment, que je devins incapable d’aimer et de m’ouvrir aux autres. Puis je rencontrais Jacques, un homme de dix ans mon aîné, un homme solide, fiable, travailleur et généreux, qui fît tomber à force de patience quelques-unes de mes défenses.

J’avais enfin rencontré une personne qui croyait en moi et qui était prêt à construire quelque chose de sérieux. C’est donc lui que je choisis pour être l’homme de toute une vie et le père de mes enfants. Après la naissance de notre fils, nous avons quitté la Bretagne pour nous installer dans la région natale de mon mari, dans les Landes. Hélas, ce fût une erreur. Nous nous sommes enterrés dans une ville de province trop morne et ennuyeuse, endormis entre lacs et pins qui sentaient vite la monotonie.

Malgré tout, je me suis efforcée de croire que j’étais heureuse en ménage, une femme sans histoire, fidèle et attachée à sa famille, sérieuse et conventionnelle, se contentant de peu, acceptant la médiocrité du quotidien comme beaucoup de femmes qui subissent leur destin avec fatalité. Cet état d’esprit était compatible avec mon look un peu strict et sévère, jupe et tailleur, dévoilant très peu mes formes, donnant l’impression d’être une beauté froide et inaccessible.

 

" De la glace qui ne demande qu’à fondre ! " raillait mon mari, fou amoureux de moi, m'icitant à me faire un tatouage au bas des reins, espérant que cela briserait un peu mon côté trop réservé et conventionnel, et réussissant à prendre quelques photos sexy où je me sentais malgré tout mal à l’aise.

Je parle volontairement à l’imparfait car tel était mon état d’esprit à cette époque, à un moment où je l’acceptais car je ne connaissais rien d’autre. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Selena qui a bouleversé ma vie trop tranquille… Employée comme secrétaire médical dans un cabinet ophtalmologique, j’ai dû quitter ma petite ville de province pour suive un stage informatique à Lyon, loin des miens et ce pour une durée d’un mois.

Au début, j’étais effrayée et désorientée de perdre ainsi mes marques et me retrouver seule dans une grande ville inconnue, mais ce malaise s’estompa assez vite par une impression de liberté et d’audace comme je n’en avais jamais connue. Je rencontrais d’autres collègues qui venaient de chaque coin de la France, avec leur particularité, leur culture, leur caractère et expérience personnelle, et c’était si enrichissant de fréquenter d’autres gens de ma province profonde.

C’est ainsi que je fis connaissance de Selena qui devint ma compagne de chambre dans le modeste hôtel où nous passions toutes nos nuits. Plus âgée et plus grande que moi, elle était du genre femme fatale et libérée, une superbe rousse au cheveux longs, genre extravertie et dévergondée, celle qui attire tous les regards et qui n’a pas froid aux yeux. Elle avait ce tempérament espiègle et rieur, volubile et exubérant, qui la rendait fascinante, celle que l’on remarque tout de suite dans n’importe quelle circonstance.

J’étais tout son contraire, timide et réservée, petite brune au visage enfantin et innocent, aussi jolie que discrète… Mais malgré notre différence le courant passa tout de suite, elle me prit sous son aile comme une grande sœur le ferait, avec bienveillance et un instinct protecteur qui, d’emblée, me toucha énormément. Sa présence à mes côtés était un véritable festival de gaieté et de malice en tout genre, un vrai clown qui riait de tout et accumulait les pitreries et bêtises comme une éternelle effrontée. C’est sans état d’âme qu’elle m’aspirait dans son sillage, une tornade turbulente qui, au lieu de réviser les cours et approfondir nos connaissances informatiques, m’entraînait dans les bars, pubs et discothèques, pour de folles nuits blanches.

Et, le pire que tout, c’est que j’adorais cela, retrouvant une jeunesse dont je n’avais pas profitée, et l’occasion m’était enfin donnée de rattraper le temps perdu. Nous nous régalions, sur les pistes de danse, d’allumer et provoquer tous les mâles présents. Selena, avec ses allures lascives et son corps insolent de beauté, rendait fou de désir les hommes qui tentaient bien évidemment leur chance… Mais sans succès.

Je compris vite qu’elle se riait d’eux avec un dédain manifeste parce qu’elle les détestait réellement, et pour cause : Selena n’aimait que les femmes. Elle me l’avoua le plus simplement du monde le sixième jour, ce que j’aurais dû d’ailleurs comprendre à sa façon de me dévorer des yeux et ses manières tactiles et câlines de me coller à chaque occasion. Mais je prenais tout cela pour de la simple amitié, et j’ai toujours été si naïve… Cette constatation, au lieu de m’écœurer ou m’inquiéter, attisa au contraire ma curiosité et ne la rendit que plus fascinante et mystérieuse. Une lesbienne ! C’était la première fois que j’en fréquentais une, et c’était si éloignée des clichés que je m’en faisais. Mais, si je fus intriguée au début, partager ma chambre avec elle fut une réelle torture.

Elle ne cessait de m’aguicher, me séduire, se promenant en nuisette ou tenue sexy dans la chambre avec une impudeur qui, au lieu d’être vulgaire ou déplaisante, était au contraire d’un érotisme subjectif et raffiné. En plus, dans les conversations, elle me vantait les qualités des homosexuelles qui savent être si douces et expertes, si patientes et si compréhensives, une expérience divine et magique pour les hétéros qui se laissaient tenter, et elle était si persuasive et habile pour enflammer mon imagination que j’en fus vite convaincue et horriblement troublée…

Elle prit un malin plaisir à jouer avec mes nerfs la deuxième semaine et je réussis à tenir bon quelques jours. Mais je résistais pour mieux lui céder, ce que je compris un jours où, à la fin d’un cours plus épuisant que les autres, je voulus tout de même réviser dans la chambre, installée studieusement sur une chaise.

Je n’eus même pas le temps de m’atteler au travail que Selena, vêtue d’une robe moulante qui dévoilait à la perfection sa lourde poitrine, se montra de nature joueuse et espiègle, pour ne pas dire câline et provocante. Elle se montrait très caressante, me tournant autour comme une louve affamée, à l’affût, me frôlant de gestes insidieux qui ne cessaient de me déstabiliser.

A quoi jouait-elle ? Je le compris assez vite lorsqu’elle s’installa sur mes genoux, et je protestai trés vite mais elle m’ordonna le silence en posant un doigt sur mes lèvres, les caressant en même temps d’un geste provocant.

Ses intentions se déclarèrent de façon assez directe quand elle voulut m’embrasser sur la bouche. Mon premier réflexe fût de la repousser pour me relever, mais elle se pencha sur moi en m’étreignant si fort que toute tentative de retraite était impossible.

Je cherchai ensuite à me débattre, fuyant sa bouche qui cherchait toujours mes lèvres, me contorsionnant en tout sens avec des gémissements de panique, mais elle s’accrochait à moi avec une force décuplée, s’excitant de ma résistance, mêlant ses membres aux miens, m’enroulant comme une pieuvre affamée, se frottant sur moi de souples mouvements du bassin, s’incrustant de tout son corps comme pour mieux se fondre.

Ne pouvant accéder à ma bouche que je lui refusais toujours en bougeant la tête rapidement, elle se rabattit sur ma gorge et mon cou qu’elle couvait de baisers affamés, de coups de langue aussi humides qu’obscènes, se régalant de ma peau et mon odeur comme un animal sauvage qui se laisse aller à ses instincts les plus primitifs.

Son ardeur était si intense et si communicative que j’étais autant prise de court que vulnérable, avec un mal fou à respirer, la bouche si grande ouverte qu’elle en profitait pour y prendre possession, me relançant de baisers avides et possessifs.

Quand je cherchai à détourner la tête, elle me saisissait fermement le visage pour chercher ma bouche. Si je réussissais à la fuir et à la supplier d’arrêter, elle étouffait mes protestations en couvrant mes lèvres d’une main autoritaire.

Ses manières dominatrices eurent raison de ma résistance, comme si j’avais besoin au fond d’être un peu forcée et bousculée pour dévoiler une nature inavouable dont je ne soupçonnais même pas l’existence, l’envie secrète d’être poussée dans mes retranchements, soumise et vulnérable, manipulée et impuissante.

Je finis donc par faiblir, avouant ma défaite dans un sanglot désespéré de biche. Sa bouche était pulpeuse et fruitée, vorace et appliquée en même temps, si brûlante de volupté que je devins toute molle et haletante lorsque nous échangeâmes le baiser le plus long et le plus sensuel que je connus.

Rien à voir avec un baiser d’hommes, qui pique ou sent le tabac, car il y’ avait ici une douceur et une volupté que seule une femme pouvait dégager, comme des ondes électriques et lascives qui se transmettaient avec une magie incomparable. Cette expérience était divine et bouleversante, me mettant vite dans un état indescriptible. Le baiser dura une éternité, et en même temps elle m’affolait prodigieusement en bougeant voluptueusement son corps contre le mien, avec la souplesse d’un serpent, ce qui était déjà une véritable caresse en soit tellement ses courbes voluptueuses épousaient mon corps étroitement.

Je ne cherchai nullement à lui résister lorsqu’elle me déshabilla, ôtant mon chemisier, et je me laissai faire en tremblant et haletant comme une sportive qui n’arrive pas à retrouver son souffle, dépassée par les événements qui allaient trop vite. http://www.divineinnocente.onlc.fr/

 

    

Par confidences-lesbiennes - Publié dans : Sexe et Initiation. - Communauté : les jeunes exhibes
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