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Lucie, une splendide brune kidnappée et séquestrée, se retrouve nue et ligotée dans la chambre de sa voisine, une lesbienne de 50 ans, qui voue pour la jeune femme une obsession lesbienne proche de la folie...
Alors, malgré les suppliques de sa prisonnière, elle tente sa chance, prête à tout pour abuser de la jeune femme qui est contrainte de se laisser faire...
La vieille femme fait preuve d'une sensualité débordante et d'une tendresse touchante pour briser peu à peu les défenses de sa prisonnière...
Et, contre toute attente, Lucie, malgré sa concentration pour ne pas céder au plaisir, fond comme neige au soleil, incapable de repousser les orgasmes à répétitions qui vont l'anéantir lorsque sa ravisseuse attaque les préliminaires beaucoup plus intimes...
Certaine de sa victoire et du consentement de sa prisonnière, la vieille femme la libère de ses liens pour solliciter une participation active et sans limite. Lucie va t-elle s'abandonner totalement aux étreintes lesbiennes ?
A SUIVRE...
Film vu sur SEXTV dans une spéciale film Lesbien.
Ou si vous aimez ce genre d'histoires :
LA NUIT DE LESBOS :
Mélanie est hétéro, mariée, chrétienne et timide. Catherine est lesbienne et affirmée, libre et passionnée. Mais les contraires s'attirent et les deux femmes ne cessent de succomber à leurs désirs, un amour inattendu et interdit dont elles deviennent vite dépendantes. Des implications sexuelles et sentimentales difficiles à gérer...
http://divineinnocente.onlc.fr/
Suite et fin des aventures de Claire qui perd son pari et se découvre des tendances homosexuelles dépassant de loin les limites de la morale...
Claire, une femme mariée, déchaîne les passions, invitée dans une superbe villa de la Riviera. Une communauté lesbienne aux desseins sulfureux, des défis, des jeux sensuels… Pour ne perdre la face, Claire accepte le défi à relever : passer une heure avec une femme et résister aux tentations saphiques. Un gage dangereux et fatal alors que sa partenaire va réveiller en elle des pulsions lesbiennes d’une incroyable intensité.
Sans pudeur et sans retenue.
La fiévre au corps, où l’hétéro va se lâcher dans un feu d’artifice frénétique…
Troublée, je sors de l’eau, m’essuyant vite et me rhabillant aussi hâtivement. Mon regard se fige sur Fabrice. Il est blanc comme un cachet d’aspirine, les traits creusés. Il donne l’impression d’avoir pris dix ans d’un coup. Le cri stupéfait qui, telle une exclamation ravie, jaillit brusquement de là-haut, ne ménage en rien sa douleur. Malgré moi, je le prends en pitié. J’imagine très bien les tourments qu’il doit vivre, même s’il en est en partie responsable. A mon avis, il ne s’attendait pas à un tel dénouement, et encore moins à une telle apothéose, et il s’en mord maintenant cruellement les doigts. Je le vois sursauter alors que sa femme pousse d’autres cris extasiés, entrecoupés d’onomatopées stridentes. Je doute fort, à voir l’expression de Fabrice, que sa femme montre la même fougue avec lui. Les cris ne cessent de monter, au rythme du plaisir qui se fait grandissant, et s’achèvent dans un hurlement libérateur. Les grognements rauques de Sandra prennent la suite, vite accompagnes par Claire qui redémarre dans ses incroyables fringales sexuelles. Ces bruits supposent une telle frénésie voluptueuse que je ne peux m’empêcher de mettre des images sur les sons.
Fiévreuse, j’imagine les corps entremêles, collés par la sueur, l’odeur du plaisir, l’ardeur des étreintes, les positions incongrues, l’utilisation multiple du godemichet que Sandra a l’air de si bien manier. Bref, toute la magie de l’amour.
Des images qui prennent corps lorsque Laure réapparait, détaillant ce qu’elle vient de voir. Elle est sous le choc, haletante. Elle en bave presque…
- Bon sang, j’en peux plus, c’est indescriptible ce qui se passe là-haut ! Claire était une vraie bombe à retardement, et elle accumule les orgasmes sans pouvoir se retenir, comme si elle était faite pour ces amours-là ! Je suis persuadée qu’elle ne se reconnait même plus, se demandant ce qui lui arrive ! Incontrôlable et insatiable. La taille du godemichet suffit à peine à la rassasier… Après s’être fait prendre par devant,
c’est d’elle-même qu’elle s’est retournée pour se faire pénétrer par derrière, et elle a tout accepté, l’intrusion anale en option !
Là, je crois bien que c’était une première pour elle, car ses cris de surprise se mêlaient à ses cris de plaisir, une vraie révélation !
Au point après d’en redemander, grimpant sur Sandra pour peser de tout son poids sur le godemichet, comme pour mieux se faire pénétrer, et donnant son rythme comme une diablesse ! Je bois un coup et j’y retourne !
Je suis prête à m’en aller. Je viens de penser à une fille, une jolie serveuse, avec qui j’ai une grande ouverture. Ce sera une affaire vite conclue, en espérant qu’elle soit de service. De toute façon, vu mon état actuel, il est hors de question que je passe la nuit toute seule. Je suis des yeux Laure qui file ventre à terre pour constater par elle-même ce qui se trame réellement là-haut. Le sentiment de pitié qui m’a effleuré tout à l’heure me saisit de nouveau, Fabrice me fait trop de peine avec son air de chien battu à qui l’on vient de voler son os. Je me décide à intervenir :
- Laure, stop ! Tes commentaires, ça va un moment, mais ça suffit maintenant…J’en connais un qui souffre la martyre, alors ne jette plus de l’huile sur le feu ! Respecte au moins sa douleur.
Elle hésite, puis m’obéit. Elle me tire la langue, dévoilant son percing sur la langue, que je distingue brièvement avant de lui tourner le dos, filant vers ma voiture.
Pour moi aussi la nuit ne fait que commencer…
Si vous avez aimé cette histoire, je vous conseille de lire aussi » La Tentation de L’Ange. » http://divineinnocente.onlc.fr/10-La-tentation-de-lAnge.html Ou quand une lesbienne tombe amoureuse d'une femme mariée et se montre déterminée à la séduire...
Plonger les lecteurs, comme ses personnages, dans des abîmes de volupté – et démontrer qu’en chacune de nous, divine Femme que nous sommes, qu’une part d’homosexualité est enfouie au plus profond de nous. Et, comme Mélanie dans cette nouvelle érotique, entraînée malgré elle dans un trio lesbien torride, qu’elle avait déjà en elle ces tendances refoulées, tapies comme un désir honteux mais à l’affût de la première opportunité pour surgir comme un diable de sa boite…
Une porte qu'elle n'aurait jamais dû ouvrir...
Victime de sa vraie nature…
En partenariat avec les plus grands Annuaires de Charme :
Suite des aventures de Claire qui, suite à un pari stupide, doit se plier aux éxigences de Sandra, lesbienne décadente et manipulatrice. Son gage : Passer une heure à flirter avec elle et résister aux délices de Lesbos…
- D’accord, j’y viens, j’y viens… Et bien Claire a eu beau se démener comme un diable pour lui résister, elle a commencé à fondre lorsque Sandra a fini par lui ôter son sous-vêtement, bien que Claire s’y accrochait comme si sa vie en dépendait. Mais, totalement nue et frémissante, littéralement offerte, elle ne pouvait plus rien faire lorsque Sandra s’est acharnée sur son petit minou, s’attaquant directement à son clito.
Au fait, pour info, Claire est totalement épilée et son minou est terriblement sexy comme ça ! Bref, elle a tenté de se contrôler un peu, à serrer les dents et à se tordre pour repousser l’inévitable, genre je suis forte et je ne perdrai pas, mais c’était un combat perdu d’avance ! Car quand elle y’a mis bouchée double, avec sa langue, Claire a fini par craquer, et c’est en criant comme une forcenée qu’elle a eu son premier orgasme !
Il fallait la voir bondir et gémir comme une éperdue, s’accrochant de toutes ses forces aux barreaux du lit ! Ouah, rien que d’y penser ça me donne des frissons partout !… Cela a été en tout cas le déclic, elle s’est retrouvée dans un tel état de surexcitation que, n’y tenant plus, elle s’est laissée enfin embrasser, quémandant le baiser comme une affamée, appelant les caresses par des contorsions et des râles suppliants.
Dis donc, Fabrice, ta femme raffole des préliminaires, elle n’a jamais été à pareille fête, à croire que c’était pas trop ton truc les préludes ! C’est tout son corps qui vibre et qui brûle, de la lave en fusion !
Là, elle est gâtée, et en redemande la coquine ! Si tu la voyais ! C’est elle qui a déshabillé Sandra, puis elle s’est offerte avec une totale soumission, écartelée sur le lit, nue et docile, se laissant manœuvrer aveuglement. Sandra est aux anges, elle va pouvoir disposer de son corps à sa convenance, et elle va lui faire subir tout ce qui lui passe par la tête ! Et tout le monde sait que ses caprices sexuels sont tout sauf classiques, dans le genre compliqué elle bat tous les records ! Quand j’ai refermé tout doucement la porte, elles étaient parties dans des positions aussi variées qu’acrobatiques, et Claire lui cède vraiment tout, mais alors vraiment tout ! Au point de lui avoir grimpé dessus pour se tordre sur elle comme une possédée, l’embrassant comme une vorace,
En partenariat avec les plus grands Annuaires de Charme : Ou totalité de l'histoire ici : http://divineinnocente.onlc.fr/29-La-fievre-au-corps.html
Un défi amoral et dangereux où une femme mariée, Claire, ayant perdu son pari, est contrainte de coucher avec une autre femme...
Elle doit résister à Sandra, la lesbienne décadente, qui jouit déjà de son pouvoir, tissant sa toile dans un jeu à priori innocent. La part d’ombre dans ce qu’elle a de plus sournois et pervers…
Claire, l’innocente à la vie harmonieuse, mais dont la pureté va peu à peu se fissurer, dévoilant une nature aussi animale et tumultueuse que sa partenaire.
Comment le masque va-t-il tomber ? Comment le sexe entre femmes va t-il se déchaîner dans un tel paroxysme ? Jusqu’où peut-on aller pour assouvir ses désirs lorsqu’ils se dévoilent brusquement, dans cet état brut et primitif ?
A vous de le découvrir…
Bonne lecture.
Il esquisse un petit sourire sarcastique, et se remet à manger. L’autre homme jette de l’huile sur le feu en renchérissant :
- Dis, Fabrice, si tu te sens délaissé parce que ta femme préfère brouter du minou, n’hésite pas à venir nous voir !
Fabrice dodeline de la tête avec dédain. Mais je sens qu’il n’en mène pas large, chose qu’il n’osera jamais nous avouer. Il est trop tard maintenant pour les regrets. C’est d’un seul mouvement que nous nous tournons tous vers Laure alors qu’elle se rapproche de la table. Une seule question nous brûle les lèvres, mais personne n’a le courage de la poser. Elle s’écroule sur sa chaise, pousse un gros soupir, finit son verre, faisant durer le plaisir alors qu’on s’agite tous nerveusement, torturé par la même curiosité. Enfin, elle se décide à nous raconter :
- Pour l’instant, Claire résiste… Nerveuse au début, tremblante comme un animal que l’on méne à l’abattoir, avec ce petit air suppliant qui la rend encore plus désirable, elle s’est malgré tout prêtée au jeu…
Alors Sandra lui sort le grand jeu, les caresses qui pleuvent de la tête aux pieds, sensualité à fleur de peau, exploration approfondie et minutieuse, lèchement des orteils, puis de chaque doigt de la main… Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle met du cœur à l’ouvrage, elle se donne à fond, mais elle n’arrive pas encore à briser ses défenses… Pour l’instant.
- Pour l’instant ?
- Oui, ça commence à évoluer. Et Sandra a tenu parole jusqu’ici. Aucun baiser ne s’échange. Dis donc, Fabrice, ta femme est super affriolante avec sa robe qui descend jusqu’au ventre, comme une vierge qui se fait détrousser ! Qu’est-ce que je disais déjà ? Ah, oui, tout peut bousculer, car Sandra met le paquet, une tornade de sensualité qui ne laisse rien passer, léchant et dévorant chaque millimètre de peau comme si c’était le plus exquis des repas, à savourer lentement, prenant son temps pour mieux s’en délecter.
- Et Claire tient bon ? s’étonne l’une des filles de la piscine.
- Difficilement, j’y viens… Air timide et effarouché, regard de biche effrayée qui se demande ce qu’elle fait ici, Claire a fait ce qu’elle pouvait pour se donner une contenance, genre je ne craquerai pas, les filles c’est pas mon genre…
Mais c’est sa façon de respirer qui a commencé à la trahir, forte et saccadée. Surtout quand Sandra s’est occupée de ses seins, les dévorant et les aspirant goulument, trop ravie d’avoir trouvé une zone érogène, car Claire semble très sensible de la poitrine.
Puis, paniquée de voir que son corps la trahissait, elle a commencé à gémir doucement, à murmurer des « non non » affolés tout en se tordant en tout sens, les cuisses désespérément serrées, au bord de l’asphyxie. Elle a même voulu faire marche arrière mais Sandra lui a rappelé les règles, qu’elle devait tenir une heure, et cela d’un ton sans appel, comme elle sait si bien le faire, la femme dominante qui sait plier ses partenaires à ses caprices. Alors Claire a cédé à ses exigences, se prête au jeu. A mon avis, elle ne tiendra plus très longtemps… Elle n’est pas loin d’abandonner le combat, c’est ça qui l’effraie. Quand je les ai laissées, Claire s’accrochait malgré tout à sa morale comme une noyée s’accroche à sa bouée, pour ne pas sombrer… Quand Sandra s’approche un peu trop de son entrecuisse, elle la repousse, lui faisant comprendre qu’elle ne s’avoue pas encore vaincue…
Enfin, on verra bien, suite au prochain épisode. Je prends un peu de force, et retourne voir l’évolution des événements.
Elle a un sacré coup de fourchette, l’impatience lui fait vider son assiette en un temps record. Déjà, elle est repartie. Elle n’est malheureusement pas la seule à quitter la table. Anne, d’un air dégoûté, vient de se lever.
- Vous m’avez coupé l’appétit avec vos plans pervers. C’est dégueulasse ce que vous faîtes !
Je la rattrape alors qu’elle atteint sa voiture, garée avec les autres derrière le local à piscine.
- Attends, Anne. Ne prends pas les choses trop à cœur, c’est un jeu !
- T’appelle ça un jeu ? Pervertir et souiller Claire, qui je te le rappelle est une amie à toutes les deux, surtout à toi. Si c’est là ta façon de manifester ton amitié, et bien bravo, je ne te félicite pas !
- Claire en a accepté les règles, personne ne l’a forcé. J’ai été aussi surprise que toi qu’elle ait cédé aussi vite, mais apparemment elle en avait envie. C’est à elle seule d’assumer maintenant. Je comprends ta déception. Il y’a longtemps que tu t’es entichée d’elle, tu la croyais plus sérieuse, mais il n’en est rien ! Les gens sont ce qu’ils sont, elle n’est pas la sainte que tu t’imaginais. Au moins cela t’a ouvert les yeux, Claire n’était pas une fille pour toi, prends-le du bon côté.
Anne se tourne vers moi. J’ai touché juste. Elle me fixe d’un regard pathétique, les larmes lui rougissent les yeux. Elle ne fait aucun geste pour les retenir, elles roulent le long de ses joues pour s’écraser sur son T-shirt.
- Je la croyais différente, plus…plus pure. Cela me fait mal de la voir faire ça dans ces conditions, et surtout avec cette névrosée de Sandra.
Elle détourne le visage pour pleurer. Elle prend une profonde inspiration, réussissant en partie à se contrôler. Sa voix est chargée de haine lorsqu’elle reprend :
- Sandra utilise le sexe pour se détruire, tu le sais aussi bien que moi… Qu’elle veuille se perdre, ça c’est son problème, mais qu’elle le fasse seule, sans se sentir obligée d’entraîner les autres dans sa chute ! Si Claire a le malheur d’aimer ça, avec elle, je ne sais pas si elle aura le force de s’en remettre. Christelle, tu dois empêcher que cela arrive, il faut que tu interviennes, avant que cela ne soit trop tard ! Je t’en prie, fais-le, pour moi, pour Claire !
Son ton s’est radouci alors qu’elle me supplie de m’en mêler. Je ne peux pas lui refuser cette requête.
- Bon, je vais voir ce que je peux faire, mais je ne te promets rien.
Elle se jette dans mes bras. Un sourire mouillé illumine son triste visage. Je la laisse partir, et regagne la terrasse. Je fonce droit sur Fabrice.
- Allez, suffit les conneries ! On stoppe les dégâts, tu récupères ta femme, et on oublie tout !
Un sourire figé sur ses lèvres, et son teint pâle, me mettent aussitôt en alerte. J’en comprends vite la signification lorsque, de la chambre éclairée d’en haut, des gémissements syncopés se font entendre, suffisamment forts pour parvenir jusqu’à nous, montant et s’enflant dans le silence de la nuit. Ce sont des soupirs féminins très démonstratifs, scandés à un rythme plutôt réguliers, qui s’accélèrent brusquement, et finissent par des cris extasiés. Je reconnais la voix de Claire. J’arrive trop tard, ce que nous confirme tout de suite Laure en se précipitant sur nous, les yeux brillants et le feu aux joues.
- Vous entendez ? Claire a craqué, elle en peut plus, c’est vraiment torride là-haut ! J’ai perdu mon pari, mais ce n’est pas grave, le spectacle en vaut vraiment la peine, c’est hyper chaud ! De toute façon, je n’avais pas l’argent pour payer, et Sandra le savait bien…
- Allez, raconte, ne nous fait pas languir ! rugit l’une des invitées d’un air hilare.
A SUIVRE...
Ou totalité de l'histoire ici : http://divineinnocente.onlc.fr/29-La-fievre-au-corps.html
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