Ne vous laissez pas tromper par son apparence innocente, c'est une vraie gourmande qui, lassée de sa copine, a besoin d'une parenthése virile avec deux vrais mâles.
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Ne vous laissez pas tromper par son apparence innocente, c'est une vraie gourmande qui, lassée de sa copine, a besoin d'une parenthése virile avec deux vrais mâles.
Fin des confidences d'une femme se lâchant pour la 1ére fois dans les délices du libertinage.
Le plaisir m’a tétanisé, m’emportant dans des contrées que j’ignorais, le plus loin possible, bien au-delà de mes ressources.
Puis, étrangement, d’autres besoins sont montés en moi. L’envie d’un homme, d’un sexe d’homme. Mon homme. Il était là, pas loin, à regarder, et
quelle choc émotionnel quand nos regards se sont croisés. Il était partagé entre jalousie et désir, tristesse et excitation, et il a compris que je souhaitais sa présence.
Là, j’ai vécu l’extase. Deux personnes qui me
caressaient, m’embrassaient, me léchaient
et je me disais :
» Wow ! c’est extra ! Deux personnes pour moi toute seule. Une femme, avec son corps et ses caresses uniques, et un homme, celui que j’aime, avec
son corps et ses caresses uniques. Moi qui adore les préliminaires, j’étais aux petits soins, les caresses pleuvaient de la tête aux pieds sans qu’un centimètre de ma peau soit épargnée. C’était
vraiment merveilleux ! La femme avait abandonné son gadget pour utiliser toutes les parties naturelles de son corps, dépassant de loin en audace et perversion mon mari qui ne savait plus trop
quoi entreprendre pour me procurer d’autres sensations. Un moment, j’ai constaté qu’il avait aussi envie de caresser cette fille, mais le pauvre n’osait pas ! Il était tellement touchant ! Alors
je l’ai encouragé à le faire, et cela m’a excitée au plus haut point de le voir faire l’amour à une autre fille. Elle avait des ressources incroyables, brûlante comme de la braise, et une pointe
de jalousie me serrait aussi le cœur lorsque je la voyais faire à mon mari des choses que je ne lui avais jamais fait, comme lécher ainsi son sexe et aussi les fesses, en partant de la nuque
jusqu’aux cuisses. Le sacripant en redemandait, alors je prenais moralement des notes, en me jurant une nuit de lui faire les mêmes choses et lui prouver que je pouvais faire encore mieux
!
Suite à cette expérience, j’ai appris à ressentir une véritable attirance pour les femmes. J’ai tenté de coucher avec un autre homme, un illustre
inconnu qui s’était avéré un trés bon amant
Si bon qu’il m’a donné plus de plaisir que mon mari – ce que je ne lui avouerai jamais – mais bien moins bon qu’avec mon adorable libertine !
Alors, oui, j’ai refais l’amour à une autre femme. Et c’était encore divin.
Si intense que je renouvelle l’expérience dés qu’une occasion se présente. Mon mari ne me suffit plus, et ce malgré tout l’amour que j’ai pour lui. Avec une femme, c’est unique. C’est sexuel, charnel, fort et passionné, et même une alchimie si vivace que je me demande des fois si je ne vais pas basculer de façon définitive de l’autre côté… Et, en y réfléchissant, cela ne me gênerait pas de tomber un jour amoureuse d’une autre femme…
Qui joue avec le feu…
Suite des aventures érotiques d'une jeune femme se livrant pour la première fois aux délices du libertinage...
J’ai osé caresser une autre femme.
Enfin, pour la première fois de ma vie, je pouvais sentir un sein ferme au creux de ma main qui n’était pas le mien.
Ce qui m’a le plus frappé, c’est la douceur, jamais je n’avais pu sentir à quel point le sein d’une femme est doux et de sentir se dresser son mamelon dans ma bouche, ce petit chatouillement que cela procurait, j’ai adoré.
Nous nous sommes caressées mutuellement de longues minutes, échangeant baisers mouillés,
tantôt tendres ou passionnés, puis elle a repris les rênes, bien décidée à mener la danse, sa danse, de celle qui a déjà de l’expérience et veut imposer son rythme.
Lorsqu’elle a posé sa bouche sur mon sexe, j’étais prête à m’évanouir tant le plaisir était intense.
J’ai eu deux autres orgasmes successifs qui m’ont littéralement bouleversés. J’ai hurlé de plaisir.
Puis, à mon tour, j’ai franchi la ligne rouge, osant caresser une autre femme. Tandis qu’elle se frottait sur moi, je lui ai donné du plaisir, la caressant par dessus son sous-vêtement,
C’était si érotique que mon désir, malgré tous mes orgasmes, est reparti de plus belle, prêt à affronter d’autres délices bien plus intenses encore. Lorsqu’elle m’a abandonné pour fixer autour de sa taille un gode-ceinture, j’ai crû défaillir. Durant nos précédents ébats, il m’avait semblé entendre un mouvement derrière nous, et je soupçonnais là la complicité de Eve, apportant dans la plus grande discrétion ce gadget. J’avais les jambes qui tremblaient en me déshabillant,
et mes tremblements n’ont fait que s’accentuer lorsqu’elle m’a pénétrée avec cet engin divin, si long et si dur, qui m’investissait totalement, allant au plus profond de moi-même.
A SUIVRE... Et d'autres photos et récits érotiques de qualité sur ces deux sites :
Les confidences intimes d'une femme mariée qui se laisse tenter pour la 1ére fois au libertinage.
" Puis, cette dernière m’a embrassée. Cela a été le déclic. Le baiser d’une femme est incomparable, elles ont une façon incroyable dont elles ont seules le secret pour donner la chair de poule, c’était renversant et fabuleux.
C’est à peine si je me suis rendue compte que l’autre femme nous laissait.
Je suis littéralement tombée dans ses bras à flirter comme une gamine de 12 ans qui découvre brutalement ses premiers émois amoureux. Puis elle m’a prise par les mains pour m’amener au fond du lit, m’installant confortablement. J’avais les jambes qui tremblaient, avec un mal fou à respirer, et j’ai commencé à ne plus rien contrôler lorsqu’elle s’est glissée entre mes jambes, se frottant contre moi avec une volupté incomparable,
simulant la pénétration alors que nous étions toutes les deux encore habillées. L’excitation est montée d’un coup, me laissant au bord d’un plaisir inouï qui me laissait au bord du précipice, dans un état de frustration incroyable. Je crois que j’ai crié, la suppliant d’aller plus loin. Elle a fini par avoir pitié de mon supplice et j’ai eu mon premier orgasme alors qu’elle s’est mise à me caresser par-dessus mon string.
Elle avait une façon diabolique pour me caresser et faire monter mon désir de plusieurs degrés.
Quand elle a ôté mon haut et m’a dévoré la poitrine avec un appétit insatiable,
c’est tout mon corps qui vibrait à l’unisson, adorant et réclamant cette bouche féminine de tout son être. Un désir encore plus trouble m’a emporté lorsqu’elle a commencé à se déshabiller, ôtant son haut, dévoilant une poitrine lourde que le soutien-gorge avait du mal à contenir. J’en avais la tête qui tournait. C’est d’instinct que j’ai eu envie de les toucher, de la main d’abord,
en tremblant comme une feuille, puis de la bouche, avec une gourmandise si féroce que cela en était effrayant."
A SUIVRE...
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Confidences intimes d'une femme mariée qui se laisse aller pour la 1ére fois au libertinage : Sandrine continue de témoigner : Mon mari et moi sommes passés à l’acte. Je ne le remercierai jamais pour sa confiance, mon amour n’a cessé de croître lorsqu’il a compris mes envies, me comprenant et m’acceptant tel que j’étais. C’était pour moi la plus belle preuve d’amour. Avant le jour J, j’ai constaté que mon corps commençait à réagir différemment. Toutes les fibres de ma sensualité étaient en éveil, comme à l’approche d’un fruit défendu. Je ne sais pas ce que c’était, le danger de ce qui m’attendait, l’interdit, le renouveau, mais en tout cas cela avait un effet délicieusement agréable sur ma libido. Mais, en même temps, quelque chose me tracassait. L’idée que Marc se retrouve en retrait lorsque je viendrai à le faire avec une fille me dérangeait, c’est comme si je le mettais volontairement à l’écart, l’excluant alors que je risquais de prendre un plaisir fou avec une autre personne. L’imaginer souffrir, se torturant moralement en s’imaginant ce que je faisais égoïstement dans les bras d’une femme me semblait cruel, et je ne voulais pas qu’il me le reproche un jour. Alors l’évidence s’est imposée. Je tenais à sa présence, qu’il partage avec moi ce moment unique et sans doute merveilleux. Qu’il me voit avec cette fille et, ensuite, lorsque j’en aurai envie, qu’il vienne nous retrouver. Cela me rassurait, l’avoir à mes côtés. Ainsi, nous le ferions ensemble, un lien encore plus fort qui nous rapprocherait, un bonheur partagé.
La magie a opéré dés que je suis entrée dans cette discothèque libertine. La peur de l’inconnu, l’insolite du cadre et des gens, cette ambiance sensuelle, chaude et électrique avec tous ces couples qui flirtaient partout. Déjà, j’étais troublée, et jamais je ne me suis sentie aussi belle, aussi désirable, avec de l’audace dans ma façon de danser, de bouger. Je me sentais femme –avec un grand F – et vivante. Puis une femme ne cessait de me dévorer du regard, elle était belle, indécente et sexy. Déjà, j’étais conquise. Elle est venue s’installer à côté de moi et on a commencé à parler. Mon mari, qui se sentait en trop, est parti au bar.
Lors de ma première expérience, l’autre femme – Eve -
(appelons-la Eve), m’a dit que, bien qu’en couple avec un homme, elle avait toujours été attirée par les femmes et fréquentait uniquement les clubs
échangistes pour ce genre d’expérience. Eve m’a présentée une amie, Julie, une blonde de quarante ans, très extravertie et volubile, et drôlement sexy. Après avoir fait connaissance, elles m’ont
proposées d’aller dans une chambre et de faire plus intimement connaissance. J’étais paralysée par la peur – et l’excitation aussi – et je voulais surtout l’accord de mon mari. Du bar, il a
acquiescé de la tête, me donnant ainsi son autorisation.
Ainsi, je me suis retrouvée sur un lit avec ces deux femmes que je connaissais à peine et, après quelques banalités, elles ont commencé à me toucher le visage et les épaules, cherchant un contact de plus en plus précis. J’étais paralysée par l’appréhension, et mon visage devait exprimer une telle tension
qu’elles m’ont mises en confiance, me parlant, me rassurant, avec le libre-arbitre de tout arrêter quand je le voulais. J’ai réussi à parler – à croasser plutôt – exprimant mon inquiétude : n’ayant jamais eu de relations homosexuelles, il me paraissait disproportionné de commencer avec deux femmes en même temps ! Julie s’est alors mise en avant, exprimant son désir d’être ma première femme, que son savoir était illimité, son expérience infinie, et que je ne regretterais jamais nos ébats lesbiens. Elle savait se vendre car je n’ai trouvé aucune hésitation à formuler. Alors elle a commencé à me caresser par-dessus les vêtements, lentement… Jusqu’à ce moment-là, tout allait bien. Eve m’a pris la main pour que je me mette à la caresser,
puis aussi à toucher aussi Julie,
que je ressente un contact tactile différent, extrêmement sensuel. Ensuite, elle s’est rapprochée pour venir me caresser les seins avec les mains, me poussant peu à peu dans les bras de Julie..
Puis, cette dernière m’a embrassée. Cela a été le déclic. Le baiser d’une femme est incomparable, elles ont une façon incroyable dont elles ont seules le secret pour donner la chair de poule, c’était renversant et fabuleux.
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