Dimanche 7 mai
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10:30
Vengeance lesbienne ou la revanche d’une femme trahie…
Lorsque Julie a débarqué à Paris, elle ne connaissait personne et se sentait perdue. La jeune femme a alors rencontré Vincent, à qui elle a fait
d’emblée confiance.
A tort… Humiliée et bafouée par l’homme dont elle s’était éprise, la voilà seule et abandonnée. Pour ce faire, il lui faut un plan tordu et
dérangeant, pour faire mal, atteindre Vincent dans ce qu’il a de plus cher : sa dignité et son épouse. Briser son couple, distiller le doute et la discorde. Et tout mettre en oeuvre pour que la
femme de Vincent, la douce et prude Valérie, le quitte pour une autre femme, l’ultime humiliation…
Calculatrice et manipulatrice, Julie est prête à tout pour faire voler en éclats les certitudes hétérosexuelles de Valérie…
Julie confie : Elle a accepté sans crainte que je lui enfonce l’engin dans la chatte. Il faut
dire qu’elle mouillait abondamment et que son vagin était largement disposé à l’accueillir. La bite artificielle entra d’ailleurs sans difficulté dans l’orifice. Aprés l’avoir pilonnée comme une
folle, elle s’est placée sur moi, se tortillant comme une démente, donnant son rythme…
J’étais sous elle et, pendant que je lui léchais les seins, je la pistonnai à l’aide du gode. Elle soufflait fort et relevait la tête de plus en
plus souvent pour gémir. Ses longs cheveux roux me balayaient le visage, comme une vraie caresse.
Il était temps que je l’encule.
Je la retournai comme une crêpe tout en poussant l’ustensible dans la vulve de ma nouvelle maîtresse, butant sur la pastille violacée.
Ses gémissements s’intensifiaient. Je voyais à quelques centimètres de mes yeux le trou qui palpitait. Alors, j’ai poussé et doucement enfilé la
bite factice dans le rectum, après que la collerette se soit ouverte. Puis, pour ne pas lui laisser de répit inutile, j’ai tout de suite commencé à la pistonner. Je pouvais distinctement observer
les deux godes qui entraient et sortaient des deux trous de ma jeune élève. A partir de là, je n’ai plus pu compter sur ses caresses buccales. Elle est devenue hystérique et s’est mise à jouir
comme une folle. La tension sexuelle trop longtemps accumulée par l’innocente Claudine est sortie en une fois, dans une débauche de plaisir. Pour ma part, ce jour-là j’ai joui du spectacle de son
orgasme plus que de ses caresses.
J’étais là non pas pour mon plaisir, mais pour le sien exclusivement, la corrompre, la pervertir, lui faire oublier son mari, celui qui m’avait fait
tant souffrir, et lu rendre la pareille en lui volant sa petite chérie…
Et j’ai atteint mon objectif. Trop de plaisirs et d’orgasmes intenses ont eu raison de cette belle hétéro qui n’a jamais été à pareille fête
saphique… De quoi briser toutes vos convictions de femmes mariées…
Alors elle l’a quitté pour moi, reniant tous ses principes et son passé de femme rangée et hétéro. J’en ai fais une vraie lesbienne torride et
insatiable, follement amoureuse, prête à repartir à zéro avec moi.
J’ai eu ma revanche. Je me suis délectée de me vanter auprés de Vincent qui a fait une dépression nerveuse. Imaginez ! Quel homme aussi macho que
lui accepterait de se faire voler sa femme par une autre femme ?
Mais, ce que je n’avais pas prévue, c’est que ma revanche se transformerait en une trés belle histoire d’amour. Car Valérie et moi sommes tombées
réellement amoureuses et venons de nous installer ensemble. Le plus longtemps possible car je n’ai jamais été aussi heureuse.
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