Suite des aventures torrides d'une femme mariée qui, loin de sa famille, se laisse convertir et pervertir aux délices de lesbos par sa compagne de chambre...
INITIEE PAR UNE FEMME : Un stage professionnel oblige Isabelle à quitter sa famille pour se rendre à Lyon, partageant une chambre d’hôtel avec Selena. Celle-ci va vite chercher à l’attirer sur les chemins tortueux d’une liaison interdite. Prête à tout pour l'initier aux délices lesbiens... Mais Isabelle, femme mariée et mère de famille, n'est pas une conquête si facile...
Son ardeur était si intense et si communicative que j’étais autant prise de court que vulnérable, avec un mal fou à respirer, la bouche si grande ouverte qu’elle en profitait pour y prendre possession, me relançant de baisers avides et possessifs.
Quand je cherchai à détourner la tête, elle me saisissait fermement le visage pour chercher ma bouche. Si je réussissais à la fuir et à la supplier d’arrêter, elle étouffait mes protestations en couvrant mes lèvres d’une main autoritaire.
Ses manières dominatrices eurent raison de ma résistance, comme si j’avais besoin au fond d’être un peu forcée et bousculée pour dévoiler une nature inavouable dont je ne soupçonnais même pas l’existence, l’envie secrète d’être poussée dans mes retranchements, soumise et vulnérable, manipulée et impuissante.
Je finis donc par faiblir, avouant ma défaite dans un sanglot désespéré de biche. Sa bouche était pulpeuse et fruitée, vorace et appliquée en même temps, si brûlante de volupté que je devins toute molle et haletante lorsque nous échangeâmes le baiser le plus long et le plus sensuel que je connus.
Rien à voir avec un baiser d’hommes, qui pique ou sent le tabac, car il y’ avait ici une douceur et une volupté que seule une femme pouvait dégager, comme des ondes électriques et lascives qui se transmettaient avec une magie incomparable. Cette expérience était divine et bouleversante, me mettant vite dans un état indescriptible. Le baiser dura une éternité, et en même temps elle m’affolait prodigieusement en bougeant voluptueusement son corps contre le mien, avec la souplesse d’un serpent, ce qui était déjà une véritable caresse en soit tellement ses courbes voluptueuses épousaient mon corps étroitement.
Je ne cherchai nullement à lui résister lorsqu’elle me déshabilla, ôtant mon chemisier, et je me laissai faire en tremblant et haletant comme une sportive qui n’arrive pas à retrouver son souffle, dépassée par les événements qui allaient trop vite.
Elle en profita pour m’affoler de baisers enfiévrés sur les épaules et le cou. J’étais si éperdue que le réalisai à peine être attrapée par la main et entraînée vers le lit. C’est dans un état second que je me retrouvais étendue et offerte, pathétique dans mon désarroi, encore plus désirable dans mon abandon, alors qu’elle se contorsionnait sur moi en cherchant plus étroitement le moindre contact tout en m’embrassant fougueusement. Elle finissait en même temps de me déshabiller
mais, étrangement, elle me laissa mon slip. Je compris vite que c’était pour mieux jouer avec mes nerfs, se délectant d’un sadisme raffiné pour me laisser suppliante,
butinant mes seins avec gourmandise avant de descendre sournoisement à l’intérieur de mes cuisses. Cette façon d’appuyer sa langue sur le tissu du sous-vêtement était insupportable, je bondissais et gémissais pour qu’elle cesse cette divine torture, mais je crois qu’elle me punissait ainsi de lui avoir résisté au début, faisant durer ainsi le jeu.
Ensuite, elle se déshabilla à moitié, dévoilant sous un soutien- gorge une poitrine ferme et opulente qui ne demandait qu’à jaillir. Elle se lova contre moi, glissante comme une anguille, et ce simple contact, seins contre seins, pubis contre pubis malgré mon string, fût si grisant, à la fois subtil et insoutenable, que je mis à haleter comme jamais en tremblant de la tête aux pieds comme une possédée.
J’avais le corps en feu, le sang chaud d’une jument en rut, ne cessant de frissonner et de vibrer à chacune de ses caresses. Je réalisai avec effroi que j’étais au bord de l’orgasme ! Moi qui suis d’une nature longue à m’échauffer, ressentant un soupçon de bien-être et de désir après de longs préliminaires, j’avais atteint avec cette femme un paroxysme de surexcitation incontrôlable en un temps record ! C’était totalement démentiel ! Et j’en demandai plus, l’encourageant et la suppliant, l’étreignant avec vigueur comme pour mieux me fondre dans elle, sursautant à chaque caresse et baisers qui semblaient me brûler comme du charbon ardent.
Je ne me reconnaissais plus ! Si mon mari m’avait vu à cet instant, il m’aurait prise pour une folle car jamais je n’avais réagi de cette façon avec lui ! Et avec aucun des hommes que j’avais connu avant lui…
Puis, comme si elle ne pouvait plus se retenir, elle s’est dépêchée de me dévêtir complètement. Les caresses ont repris, plus intimes et habiles. Tout en elle était douceur, compréhension, patience et volupté, saveur et dextérité.
Je ne cessai de bondir et crier à chaque chois qu’elle me touchait de ses mains ou de sa bouche. Je fondais littéralement, toutes mes barrières explosaient. Lorsque sa bouche a enfin plongé entre mes cuisses que je ne cessai d’écarter indécemment, j’ai véritablement poussé un hurlement de bête blessée. Avec le bout de sa langue, elle me titillait, me provoquait, m’excitait à m’en faire délirer, augmentant la pression en s’aventurant dans mon antre ruisselante avant de m’abandonner la seconde suivante.
Sadisme et raffinement, elle me faisait languir, me laissant au bord du précipice, retardant mes sensations avant de les rallumer. Mon corps réclamait l’orgasme de toutes ses forces, se tordant et bondissant en avant. Les yeux révulsés, ahanant comme une folle, je me mise à me caresser les seins avec l’énergie du désespoir, abandonnant toute pudeur et toute retenue. Enfin, je connus la libération, éclatant comme un feu d’artifice en lui griffant la nuque, me tordant et me convulsant comme une limace prise de folie. Mais, ce qui m’étonna le plus, c’est que cet orgasme fabuleux, au lieu de m’apaiser et me rassasier, éveilla en moi des envies plus grandes.
Selena, au lieu de s’interrompre, mêla ses doigts au jeu, les faisant coulisser dans un bruit de clapotis obscène, et j’étais si trempée et ouverte qu’elle introduisit son poing au plus profond de mon vagin, allant et venant à un rythme soutenu. Je n’avais jamais connu une telle intrusion et une telle sensation, si intense que je me remis à hurler de plus belle. Ce fût encore une explosion des sens incroyable, secouée par le plus beau orgasme de ma vie.
Alors que mes muscles se détendaient et que mon corps se relâcha, je retrouvais provisoirement mes esprits. Que m’arrivait-il ? J’étais anéantie et bouleversée. Jamais un homme n’avait pu me faire jouir ainsi, si vite et si intensément, et cela me laissait dans un état d’incompréhension totale. J’étais désorientée, au bord des larmes. J’éprouvais une peur irraisonnée, celle de renier toutes mes convictions morales et religieuses, et la honte de devenir anormale, d’être une lesbienne. Je venais de me donner corps et âme à une femme alors que je la connaissais depuis dix jours à peine ! C’était d’autant plus illogique que tous les hommes que j’avais connu auparavant avaient dû patienter deux ou trois mois avant de coucher avec moi…
C’était immoral et il fallait vite que je me calme, que j’oublie cette folie… Je ne pouvais pas être une homosexuelle, c’était impossible ! Un sentiment de rejet stupide et irrationnel qui dura un bref instant car Selena, d’instinct, perça mon angoisse et réussit à atténuer mes incertitudes. Attentive, câline, savante, elle arriva vite à faire renaître mon désir avec une patience infinie. Et elle me donna surtout le goût de la femme, son corps splendide, ses formes affriolantes, sa peau douce comme de la soie qui appelait les caresses. Après m’avoir redressée pour échanger quelques baisers passionnés,
elle se laissa tomber à la renverse, m’entraînant sur elle , appuyant mon visage contre ses seins plantureux. Je compris son attente et me régalais de les dévorer avec ivresse, léchant sa peau exquise, explorant ses courbes harmonieuses, titillant les mamelons qui pointaient sous ma langue, les étirant avec délectation, me léchant les babines de cette nouvelle gourmandise qui me laissait insatiable.
A SUIVRE...
Et si vous aimez ce genre de récits, je vous conseille vivement http://divineinnocente.onlc.fr/7-La-nuit-de-Lesbos.html
LA NUIT DE LESBOS 2 : Mélanie va de nouveau affronter la fougue et les appétits démesurés d’une femme folle amoureuse d’elle. Puisant ses forces dans son amour pour son mari, Mélanie va se révéler indécise et éperdue, se débattant comme une naufragée qui s’accroche à la raison. Mais c’est sans compter sur l’impétuosité et l’acharnement de Catherine. Celle-ci va tenter de l’immerger dans son monde, entre voluptés et licences effrénées, là où plus aucune frontière n’existe…
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